Améliorer drastiquement et rapidement sa politique QVCT est aujourd’hui possible. Voici comment. 

Selon l’ANACT (Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail)  la démarche QVCT poursuit trois ambitions :
• construire une organisation du travail favorable à la santé des personnes et à la performance globale de l’entreprise,
• donner à chacune et chacun du « pouvoir d’agir » sur son travail,
• améliorer le travail d’aujourd’hui et de demain.

La QVCT confrontée à la complexité

Constat : ces trois ambitions nécessitent des changements qui influencent plusieurs dimensions, toutes centrées sur l’élément humain.
En effet, elles touchent à la fois l’individu, les dynamiques au sein des équipes de travail et l’entreprise dans son ensemble.
De plus, elles affectent les relations interpersonnelles des individus ainsi que la structure organisationnelle de l’entreprise, montrant ainsi toute l’étendue de leur impact sur divers aspects du milieu professionnel.
Or nous savons que les changements chez l’être humain sont vécus comme des contraintes. Leur gestion obéit à des règles bien spécifiques, ce qui est également vrai dans le domaine social des organisations.
En conclusion nous constatons juste à l’énoncé de ces trois ambitions de la QVCT, une complexité inhérente au sujet, l’humain, et aux multiples dimensions que ces trois dimensions adressent.
Que ce soit, par exemple, à travers le prisme « individu – collectif de travail – entreprise » ou les dynamiques « relations interpersonnelles – organisation », il est clair que le changement, tant au niveau individuel que social, suit des règles et contraintes spécifiques.

Exemple avec l’ambition de « donner le pouvoir d’agir sur son travail »

Comment donner simplement du « pouvoir d’agir » à une personne sur son travail (deuxième ambition de l’Anact) ?
Qui concrètement lui donne ce « pouvoir d’agir », ce qui est différent de le décréter à la place de la personne ?
Est-elle en mesure de la développer ?
Le souhaite-t-elle ?
Considérant que ce pouvoir se révèle et s’exprime au fil des situations de travail quotidiennes à travers les relations professionnelles, on touche du doigt ici la complexité à développer le pouvoir d’agir, le sien et celui des autres. Or qui dans l’entreprise est formé, entraîné, incité, supervisé à développer le pouvoir d’agir des individus parmi les dirigeants, managers, cadres, agents de maitrise, salariés ? Peu de monde en réalité, ce qui ajoute de la difficulté à la complexité.

Le fonctionnement cognitif et émotionnel humain, la clé du pouvoir d’agir de l’individu

Nous pourrions développer le même raisonnement sur les deux autres ambitions de l’Anact pour la QVCT.
Nous voyons bien que le sujet ici est essentiellement lié à l’élément humain. Et plus précisément la façon dont l’individu en situation professionnelle perçoit, ressent, s’exprime, analyse, planifie, résout des problèmes, à quoi il est attentif, comment il utilise ses mémoires. Dit autrement, la capacité d’un individu à se développer selon les trois dimensions de la QVCT développées par l’Anact dépend de son fonctionnement individuel cognitif et émotionnel.

L’approche cognitive UMANAO® au service de la QVCT

C’est précisément ce qui définit l’objectif de l’approche cognitive UMANAO® destinée à la QVCT : développer les capacités cognitives de l’individu qui vont lui permettre de mobiliser des ressources adaptées pour évoluer au gré des situations de travail en fonction de ses besoins et désirs, tout cela dans le cadre et l’environnement défini par l’entreprise et par sa politique QVCT.
Concrètement, cela se traduit par un ensemble d’outils et de méthodes scientifiquement fondés, sous formes de jeux sérieux, de tests et d’exercices d’aide à la réflexion, à la décision et à la coopération pour que les individus et les équipes mobilisent de façon adaptée aux situations les fonctions cognitives et la régulation émotionnelle.

Exemples de contributions de l’approche cognitive UMANAO® sur les six sujets de la QVCT selon l’Anact

Voici des exemples de cas d’usage en lien avec les sujets de la QVCT, sachant qu’un cas d’usage sert par nature plusieurs sujets :

1• Améliorer la compréhension des besoins et des motivations des individus, y compris les leurs pour favoriser l’engagement et le sens au travail (Organisation, contenu et réalisation du travail).
2• Savoir évaluer simplement une charge cognitive pour éviter une surcharge pouvant générer de la fatigue et du stress chez la personne (Santé au travail et prévention).
3• Comprendre les biais cognitifs et des stéréotypes qui peuvent influencer les perceptions et les comportements (Egalité au travail).
4• Intégrer des processus de communication et des dynamiques interpersonnelles efficaces (Dialogue professionnel et dialogue social).
5• Révéler les modalités d’apprentissage préférentielles des individus (Compétences et parcours professionnels).
6• Développer la flexibilité cognitive et émotionnelle pour mieux faire les liens entre les différents objectifs (Projet d’entreprise et management).

Vous avez maintenant compris l’intérêt, alors contactez UMANAO® !

Nos réalisations chez nos clients montrent chaque jour combien la dimension cognitive et émotionnelle est de plus en plus cruciale.
Décréter et mobiliser des moyens ne suffisent plus.
A la complexité naturelle du sujet de la QVCT est venu s’additionner un environnement social, économique et géopolitique porteur de tensions, de peurs et d’incertitudes qui augmente la difficulté des individus et des organisations à changer.
L’approche cognitive UMANAO® avec ses outils et méthodes pragmatiques sont là pour vous faire gagner du temps et de l’efficacité dans la conception et la mise en œuvre de votre politique QVCT.

Si vous aussi vous souhaitez faire bénéficier vos collaborateurs et votre entreprise de l’approche cogitive UMANAO®
n’hésitez pas à nous contacter : vous verrez vous avancerez ensuite différemment !
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